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58 articles taggés festival de Cannes

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Mes films à #Cannes, lundi 21 mai

Mes films à #Cannes, lundi 21 mai8h30 Hors les Murs/Beyond the Walls de David Lambert (Semaine de la Critique, Belgique/France)
Candidat à la Caméra d'Or
Durée : 1H38
avec Guillaume Gouix, Matila Malliarakis, Mélissa Désormeaux Poulin, David Salles

Paulo, un jeune pianiste, rencontre Ilir, un bassiste d'origine albanaise. C'est le coup de foudre. Du jour au lendemain, Paulo quitte sa fiancée pour s'installer chez Ilir. Le jour où ils se promettent de s'aimer pour la vie, Ilir part en en voyage, mais il tarde à donner signe de vie. Ilir se retrouve derrière les barreaux. Leur amour résistera-t'il aux aléas de la vie? David Lambert porte à l'écran une passion amoureuse avec beaucoup de densité et de justesse, en évitant les poncifs. Sans doute la première étape d'une prometteuse carrière de réalisateur.
Ma note = 16,5/20


11h00 Djeca/Enfants de Sarajevo de Aida Begic (Un Certain Regard, Bosnie)
Durée :1h 30min
Avec Marija PIKIC et Ismir GAGULA

Mes films à #Cannes, lundi 21 mai
Rahima, 23 ans s'occupe de son petit frère Nedim, 14 ans, lui évitant ainsi l'orphelinat. Ils habitent à Sarajevo. Rahima occupe un emploi dans un restaurant, son frère est lycéen. Victime de brimades, il se bagarre à l'école, fait l'école buissonnière et prépare d'autres bêtises bien plus graves. Aida Begis dépeint une tranche de société en pertes de repères, à l'avenir incertain. Elle ouvre de nombreux dossier. Mais on attend vainement qu'elle en referme certains. Dommage, le début était encourageant. Le travail sur la bande sonore mérite d'être salué.
Ma note = 12/20

Mes films à #Cannes, lundi 21 mai14h15 Room 237 de Rodney Ascher (Quinzaine des Réalisateurs, USA)
Candidat à la Caméra d'Or
Durée : 1h44

Room 237 explore les multiples théories autour de la signification réelle du film Shining de Stanley Kubrick. 237, c'est le numéro de la chambre mystère qui déclenche le raz de marée final dans Shining, et qui bizarrement portait le numéro 217 dans le roman éponyme de Stephen King. Cinq personnes obsédées par le film de Kubrick s'expriment. Selon leurs analyses des images de Shining, un skieur sur une affiche représenterait le minotaure, Kubrick avouerait de manière détournée qu'il a mis en scène l'alunissage truqué d'Appollo, l'holocauste et Hitler seraient dissimulés en filigrane subliminal à de plusieurs reprises. Au milieu d'une des "démonstrations", on a aussi droit à un cours de numérologie. Les élucubrations de ces cinq inconnus sont décidemment lunaires. Le chef d'oeuvre de Kubrick mérite mieux. Et s'il contient quelques erreurs de raccords entre plans consécutifs, celles-ci sont bien mieux décryptées sur internet. En résumé, si vous voyez Room 237 à l'affiche dans le cinéma en bas de chez vous, allez-y si vous voulez soutenir la salle d'art-et-essai, mais n'oubliez pas d'emporter votre sudoku. Si vous n'avez pas l'âme d'un saint-bernard, passez votre chemin. Ce film est nul.
Ma note = 2/20
Tags : festival de Cannes, cinéma, cinéphile, film, avis, critique
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#Posté le samedi 19 mai 2012 16:55

Modifié le lundi 21 mai 2012 14:43

Dimanche 20 mai 2012 à #Cannes : vaincu par la tempête

Dimanche 20 mai 2012 à #Cannes : vaincu par la tempête On aurait pu espérer une moisson de films plus importante aujourd'hui, mais il a fallu se contenter de trois projections. Il faut dire que la tempête a déchiré la bâche de la salle du Soixantième dans laquelle devait se tenir la quatrième séance. La salle est formée d'une structure provisoire, construite pour la durée du Festival. Nous étions à l'intérieur lors l'épisode venteux s'est accentué. Les organisateurs ont préféré ne pas prendre de risques. On peut d'autant mieux comprendre leur décision d'annuler la quatrième séance que les conditions sonores s'étaient sérieusement dégradées et nuisaient aux conditions de projection. En attendant, nous sommes repartis trempés par la pluie diluvienne... Mouillés, mouillés, et encore mouillés.
Tags : festival de Cannes, Cannes, cinéma, cinéphile, un Certain Regard, avis, critique, film
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#Posté le dimanche 20 mai 2012 16:06

Modifié le dimanche 12 mai 2013 10:55

Mes films à #Cannes, samedi 19 mai 2012

Mes films à #Cannes, samedi 19 mai 20128h30 Au galop de Louis-Do de Lencquesaing (Semaine de la Critique, France)
Candidat à la Caméra d'Or
Durée : 1H50
avec Valentina Cervi, Marthe Keller, Alice de Lencquesaing, Louis-Do de Lencquesaing, Xavier Beauvois...


Paul est écrivain, séparé de sa femme. Quand il rencontre Aida dans sa maison d'édition, il sait que sa vie va en être transformée. Mais Aida est une jeune mère qui doit se marier dans trois mois. Elle succombe néanmoins à son charme. Commence une double vie. Au galop raconte une tranche de vie presqu'ordinaire (trop?) avec beaucoup de sensibilité. Même si, ni la mise en scène de ce premier film, ni l'interprétation ne souffre de vraie lacune, il lui manque l'étincelle de magie qui fait que l'on sort grandi de la projection.
Je ne le recommanderai donc pas à tout le monde.

Ma note : 13/20


Mes films à #Cannes, samedi 19 mai 2012

11h00 Les Chevaux de Dieu de Nabil Ayouch (Un Certain Regard, Maroc)
Durée : 1h 55min
Avec Abdelhakim RACHID, Abdelilah RACHID, Hamza SOUIDEK,...

Yassine et Hamid sont deux jeunes membres d'une fratrie dans le Maroc des années 1980. Hamid est le petit caïd du quartier et protecteur de Yachine. Quand Hamid est emprisonné, Yachine enchaîne les petits boulots. Lui et ses amis sont désormais victimes de brimades plus violentes. Hamid sort de prison transformé au contact des fondamentalistes islamistes. Il entraîne Yassine dans une spirale inéluctable. Ce n'est pas la première tentative de mettre à l'écran la descente vers l'extrémisme. Si les causes en environnementales sont correctement traitées (malgré quelques facilités inutiles), le processus de radicalisation religieuse n'est que touché du doigt. Je ne sais pas ce qui peut se passer dans la tête d'un candidat au martyre, mais les Chevaux de Dieu m'a semblé passer à côté d'ingrédients importants, que les interprètes n'arrivent pas à compenser. Le résultat est quand même un film divertissant et efficace, que j'aurais eu plaisir à voir après une soirée pizza.
Ma note = 14/20




14h00 Courts-métrages 1 de la Semaine de la Critique

Ce n'est pas un film de cow boys de Benjamin Parent (France)
Durée = 12'
Deux conversations en parallèle entre deux collégiens d'un côté et deux collégiennes de l'autre, qui commentent le film "le Secret de brokeback Mountain", passé la veille à la télé. Le trouble s'installe de part et d'autre... Un peu facile. Manque de matière. Ma note = 11/20

Un dimanche matin de Damien Manivel (France)
Durée = 18'
Un dimanche matin, un homme sort son chien... Euh? Le réalisateur nous confiera après la projection que "c'est très intéressant de filmer avec un chien, parce qu'on ne contrôle rien". Cela s'est vu... Ma note = 6/20

Hazara de Shay Levi (Israël)
Durée = 19'
Un jeune homme revient d'un séjour en Inde où il a perdu le sens des relations humaines, après une consommation répétée de drogues hallucinogènes. Le réapprentissage de la vie sociale commence par la famille. Plein de sensibilité, réussi. Ma note = 17/20

O Duplo de Julian Rojas (Brésil)
Durée = 24'
Une institutrice montre deux facettes opposées de sa personnalité. La mise en scène d'un mythe fantastique. Bof... Ma note = 8/20

Yeguas y Cotorras de Natalia Garagiola (Argentine)
Durée = 28'
Trois jeunes femmes de la bourgeoisie argentine vivent dans le même environnement où la seule issue semble de bâtir un foyer. Une d'entre elles prépare son mariage. On dirait du Bergman, à la mode argentine. Mais où la réalisatrice veut-elle nous emmener?
Ma note = 12/20

Mes films à #Cannes, samedi 19 mai 2012
18h30 El taaib/The Repentant /le Repenti de Merzak Allouache (Quinzaine des Réalisateurs, Algérie)
Durée : 1h27
Avec : Nabil Asli, Adila Bendimered,...


En Algérie, dans la région des hauts plateaux, alors que des groupes d'irréductibles islamistes continuent à semer la terreur, Rachid, un jeune jihadiste quitte la montagne et regagne son village. Selon la loi de « pardon et de concorde nationale », il doit se rendre à la police et restituer son arme. Il bénéficie alors d'une amnistie et devient «repenti». Mais les tourments du passé ne sont pas effacés pour autant. Rachid est détenteur d'un terrible secret, qui pourrait expliquer le drame vécu pas un pharmacien et son ex-compagne.


La coïncidence temporelle de la projection du Repenti avec celle des Les Chevaux de Dieu oblige à comparer les deux films.
Le Repenti a besoin de temps pour s'installer. Mais au final, Merzak Allouache parvient avec de très petits moyens à créer une profondeur dans les émotions, qui faisait défaut aux Chevaux de Dieu. Si le Repenti ne répond assurément pas aux canons des divertissements légers, gages de succès commercial, il offre un témoignage poignant des blessures qui divisent les différentes composantes de la société algérienne. J'ai beaucoup aimé.
Ma note = 16,5/20
Tags : festival de Cannes, Cinéphile, cinéma, film, avis, critique, Semaine de la critique, un Certain Regard, Cannes
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#Posté le mercredi 16 mai 2012 15:02

Modifié le lundi 21 mai 2012 02:01

Samedi 19 mai 2012 à #Cannes, quelques mots sur le Palais des Festival

C'est notre première journée à 4 films, mais nous avons été une nouvelle fois recalés au Palais à 14h00.

Pourtant les salles du Palais sont grandes. La première fois que j'y suis rentré. Je me suis perdu dans le dédale de salles. Le Palais des Festival a été inauguré en décembre 1982. Extérieurement, ce n'est pas le plus beau bâtiment de Cannes. D'ailleurs, on le surnomme le "bunker". Chose bizarre (mais on est sur la Côte d'Azur, non ? ;-) ), le Palais des festivals n'a pas bénéficié au départ d'un permis de construire. Tout travail de rénovation était donc illégal et c'est seulement en 2004 qu'un premier permis de construire a été délivré.

Le palais compte 20 salles. Le Grand théâtre Lumière est la plus grande et porte bien son nom. Il sert aux cérémonies d'ouverture et de clôture et aux projections de la compétition officielle, avec 2281 sièges. Le décompte inclut quelques dizaines de strapontins, à éviter si l'on veut éviter une irrépressible envie de se tortiller après une heure de film! Au total, c'est la plus grande salle de cinéma de France et une des plus grandes du monde, près de deux fois le Grand Rex à Paris. Mais le théâtre Debussy, où sont projetés les films de la sélection Un Certain Regard, et que je fréquente assidûment, a également une taille très respectable, avec 1068 sièges sur deux étages. Par comparaison, la troisième salle du Palais, l'amphithéâtre Buñuel pourrait sembler microscopique, avec seulement...447 sièges. Et si vous compariez avec la capacité du cinéma en bas chez vous?

Et la vue sur Cannes est sympathique depuis la terrasse, non ? (photo prise à l'occasion d'un autre événement, parce que je n'ai pas le droit d'y monter pendant le Festival)

Samedi 19 mai 2012 à #Cannes, quelques mots sur le Palais des Festival
Tags : Cannes, festival de Cannes, palais, cinéphile
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#Posté le dimanche 06 mai 2012 17:58

Modifié le samedi 19 mai 2012 15:52

Vendredi 18 mai 2012 à #Cannes, une journée très compliquée, relevée par Gael Garcia Bernal

Vendredi 18 mai sera une journée que je préfèrerais oublier. Nous avons été recalés à 11h00, recalés à 11h30, recalés à 13h15, miraculeusement parmi les 3 derniers entrants à 14h30, recalés à 16h45 et recalés à 17h00. "Recalés" veut dire que nous avons fait la queue pour rien (sous une pluie bien mouillante le matin; pour une fois, Cannes est solidaire du reste de l'hexagone), parce "la limite des places disponibles" a été dépassée, toutes les places ayant été attribuées aux autres festivaliers, plus prioritaires. Autant dire que les trois films vus aujourd'hui ont été gagnés de haute lutte. Il a fallu avoir recours aux plans B, voire plans C et se reporter sur des séances pas prévues au départ. Mais la bonne surprise du troisième film nous a récompensés de nos efforts. Gaël Garcia Bernal était d'ailleurs dans la salle avec tout l'équipe du film No, qui a été très applaudie.

Vendredi 18 mai 2012 à #Cannes, une journée très compliquée, relevée par Gael Garcia Bernal
Tags : festival de Cannes, Gael, Bernal, Cannes, film, critique, No, cinéphile
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#Posté le vendredi 18 mai 2012 15:01 via Skyrock iPhone

Modifié le samedi 19 mai 2012 14:53

Mes films à #Cannes, jeudi 17 mai 2012

11 h00 Mystery de Lou Ye (Un Certain regard, Chine)
Durée : 1h 30min
Avec Qin Hao, Hao Lei, Qi Xi

Mes films à #Cannes, jeudi 17 mai 2012
Jie est mariée avec Yongzhao dont elle a un enfant. Mais elle le surprend main dans la main avec une jeune fille, révélant une complicité qui laisse peu de doutes sur la nature de leur relation. Le corps de cette même jeune fille est retrouvé sur le bord d'une l'autoroute quelques temps plus tard. Une personne en charge de l'enquête doute qu'il s'agisse d'un simple accident. Mieux vaut être concentré pour profiter au maximum de cette histoire d'adultère(s). La première partie est plutôt bien emmenée. J'ai apprécié la révélation de l'intrigue par épisodes. Mais le dernier quart est trop explicatif et le charme se rompt, inutilement.
Ma note = 14/20

14h00 Student de Darezhan Omirbayev (Un Certain Regard, Kazakhstan)
Durée : 1h30min

Mes films à #Cannes, jeudi 17 mai 2012
Student raconte l'histoire d'un étudiant rêveur et sans le sou, au Kazakhstan. Ne voyant plus comment payer le loyer de son appartement, il prend la décision de dévaliser l'épicerie où il achète son pain. Au cours de l'opération, il commet l'irréparable, non sans sentiment de culpabilité. Sur de fond de critique des excès de l'individualisme à l'occidentale, le metteur en scène a pris le parti de la lenteur pour installer son message et choisi un acteur principal au jeu peu expansif. Je dois avouer n'avoir pas saisi toutes les métaphores. Peut-être parce que Student est une adaptation de «Crimes et Châtiments » et que je n'ai pas lu le roman de Dostoïevski. Mais ce film ne m'a pas donné envie de le lire. J'ai aimé le très bon travail sur la photographie, mais il ne suffit pas à sauver le film.
Ma note = 10/20

Mes films à #Cannes, jeudi 17 mai 2012Polanski, a Film Memoir de Laurent Bouzereau (séance spéciale sélection officielle, GB)
Durée : 1h34
Avec Roman Polanski et Laurent Bouzereau

L'idée même de l'interview filmée d'un réalisateur laissait planer la perspective que l'ennui attendrait le spectateur après quelques minutes de projection. Eh bien non! Il faut dire que Roman Polanski a une vie chargée d'événements peu communs. Elle commence dès sa petite enfance dans le ghetto de Varsovie. M. Polanski rend compte comment sa famille et ses amis seront décimés, puis comment il sera tiré comme un lapin par un soldat allemand et comment il a appris à faire des sacs en papier (!). Son père survit à l'épreuve des camps mais se remarie et s'éloigne de son fils. Roman explique qu'adolescent, il relit la Chanson de Roland pour sortir de son illettrisme, hérité de la guerre. Il témoigne de l'incrédulité de son père quand il est convoqué pour son premier rôle d'acteur. Plus tard, il relate l'assassinat de sa femme, enceinte. Enfin, après ses débuts de réalisateur, il rappelle son plaider coupable pour une relation sexuelle avec une mineure aux Etats-Unis, le pardon de celle-ci, sa fuite, mais aussi les interventions de la juste américaine durant 33ans, jusqu'à l'arrestation de M. Polanski à Zürich, conclue sans extradition. Un des intérêts du film est de montrer par des extraits de films comment ces événements ont directement influencé les œuvres que Roman Polanski a réalisées.
Ma note = 13/20
Tags : Cinéphile, Cannes, festival de Cannes, movie, movie theater, Cannes 2012, film, critique, un Certain Regard
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#Posté le dimanche 13 mai 2012 11:00

Modifié le jeudi 17 mai 2012 16:42

Jeudi 17 mai 2012, c'est parti à #Cannes

Jeudi 17 mai 2012, c'est parti à #Cannes
Après avoir récupéré les badges, les pass, les invitations, fait la queue 1h30, la lumière du théâtre Debussy s'éteint. Enfin...
C'est parti pour la première journée du festival de Cannes 2012, sous un soleil éclatant. Les organisateurs ont bouleversé la grille des programmations, cette année. Du coup, les séances s'enchaînent moins bien. Mais ce premier jour s'est bien passé puisque nous avons pu le remplir avec trois projections. La quatrième fut moins concluante ; nous sommes restés à la porte... La nuit sera plus longue et nous serons en meilleure forme à la séance de 8H30 demain.
Tags : festival de Cannes, cinéma, cinéphile, film
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#Posté le jeudi 17 mai 2012 03:56 via Skyrock iPhone

Modifié le jeudi 17 mai 2012 16:07

Quelques films de Cannes que j'ai vus après le Festival

Alors que le Festival de Cannes a fermé ses portes, je complète la liste de mes critiques avec quelques-uns des films sortis en salle, en commençant par la Palme d'Or 2011.

Quelques films de Cannes que j'ai vus après le FestivalThe Tree of Life de Terrence Malick (compétition officielle, USA)
Avec Brad Pitt, Sean Penn, Jessica Chastain
Durée : 2h20

Comment des parents peuvent-ils vivre avec la douleur causée par la mort d'un enfant? The Tree of Life commence avec opéra cosmique (inracontable) entre l'infiniment grand et l'infiniment petit, qui sert de métaphore au travail de deuil. Jack est l'aîné d'une fratrie de 3 garçons. Le film retrace son enfance et son adolescence jusqu'à l'événement funeste. Dans un environnement familial très puritain, Jack hésite entre deux modèles : le modèle paternel, autoritaire, voire militaire, fondé sur la réussite sociale et celui de sa mère, fusionnel et généreux. Mais le modèle paternel est ébranlé par la dégradation de l'environnement économique. Terrence Malick n'hésite pas s'écarter des codes de l'efficacité qui traditionnellement attirent le plus grand public dans les salles. Ceux qui attendent du cinéma un pur divertissement pourront être déçus. Mais que l'on accepte ou pas de se laisser emporter dans l'onirisme de cette oeuvre, personne ne pourra nier l'immense travail sur l'esthétique de chaque image. A lui seul, il explique que The Tree of Life ne pouvait pas ne pas figurer au Palmarès. Tout simplement beau.
Ma note = 18/20
 
Le Gamin au vélo de Jean-Pierre et Luc Dardenne (compétition officielle, Belgique)
Avec Thomas Doret, Cécile de France
Durée : 1h25
Quelques films de Cannes que j'ai vus après le Festival
Cyril, 12 ans, a été placé en foyer momentanément par son père à la mort de sa grand-mère. Mais il découvre que son père a déménagé sans l'en informer et qu'il a vendu son vélo. Il fugue pour retrouver sa trace. Il attendrit une jeune coiffeuse qui accepte de l'aider et de devenir sa tutrice. En l'absence d'un père qui l'accepte, Cyril cherche des modèles masculins dans la cité. Un vrai dérapage s'amorce. Ce film est alimenté par une réflexion fine des ressorts de la construction de l'identité à l'adolescence, sans tomber dans le larmoyant.. Une réussite, servie par un jeune interprète convaincant.
Ma note = 17/20
 
En Ville, de Valérie Mréjen et Bertand Schefer (Quinzaine des Réalisateurs, France, Candidat Caméra d'Or)
Durée : 1h15
Je recopie le synopsis officiel parce que je n'ai rien de mieux à dire: "Iris, seize ans, vit la fin de son adolescence dans une petite ville de province lorsqu'elle rencontre par hasard Jean, un photographe parisien d'une quarantaine d'années. Au fil des rendez-vous, leur relation se transforme en une amitié amoureuse". Les réalisateurs disent s'inspirer de Rohmer par le ton décalé qu'ils ont choisi. Ce film à petit budget est relativement court, mais les réalisateurs auront tout de même réussi à nous perdre en route...
Ma note = 7/20
Tags : Palme d'or, festival de Cannes, Critique, Avis, Movie, Cinéphile
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#Posté le samedi 28 mai 2011 16:28

Modifié le dimanche 29 mai 2011 18:10

Premier bilan du Festival de Cannes 2011

D'abord merci à tous mes lecteurs. 11 500 visites en 10 jours et l'honneur de "Blog Star". Je n'en espérais pas tant. J'ai pris en compte vos remarques et j'ai modifié l'habillage.
 
J'ai assisté à 44 séances en 11 jours, soit environ 50% des films projetés à Cannes dans toutes les compétitions (Sélection officielle Compétition officielle, Sélection officielle Un Certain Regard, Quinzaine des Réalisateurs, Semaine de la Critique, ACID). C'est peu et beaucoup à la fois, en tout cas pas loin du maximum pour un seul homme, qui doit manger (un peu) et dormir (un peu, mais jamais pendant les films). Je complèterai mes avis bientôt en allant au ciné, en commençant avec la Palme d'Or, déjà sortie en salles.
 
Cette année, j'ai pu mettre en ligne mes commentaires presqu'en direct (merci au smartphone). Bientôt, je vais remercier l'organisation pour les longues files d'attente entre les séances, parce qu'elle me permettent de mettre à jour mon blog 8-p. 
 
A ma grande joie, mes avis sont souvent en ligne avec les jurys, comme les années précédentes (2008, 2009, 2010). Et quand il y a désaccord, vous trouverez l'explication dans mes commentaires. Au moins, vous serez prévenus.
 
Premier bilan du Festival de Cannes 2011C'est à vous maintenant de vous faire votre propre avis. N'hésitez pas à les partager sur ce site. La plupart des films que j'ai commentés sortiront en salles d'ici 1 an maximum, mais pas tous, et parfois uniquement dans une salle à Paris. Un petit effort, messieurs les distributeurs...
 
Je termine en rendant hommage à Uggy, le chien qui fait tout dans The Artist et qui a obtenu un prix d'interprétation canine méritée.
Tags : Cannes, festival de Cannes, palmarès, critique, avis, films, Cinéma, cinéphile
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#Posté le lundi 23 mai 2011 08:16

Modifié le mardi 24 mai 2011 16:11

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